˜ Auteur: Becca Fitzpatrick.
˜ Traducteur: Marie Cambolieu.
˜ Titre: Hush Hush.
˜ Éditions: Editions du MASQUE.
˜ Collection: MsK.
˜ Année: 2010.
˜ Pages: 351 p.
˜ ISBN-13: 978-2702434543.
˜ Âge: à partir de 14-15 ans.
˜ 4ème de couverture: Dans la ville brumeuse de Portland, Nora tente de mener une vie ordinaire depuis la mort violente de son père. Lors d’un cours de biologie, elle fait la connaissance de Patch. Il est séduisant, mystérieux, toutes les filles en sont folles, mais Nora est perplexe. Comment Patch peut-il en savoir autant sur son compte ? Pourquoi est-il toujours sur sa route quand elle cherche à l’éviter ? Sans le savoir, Nora se retrouve au beau milieu d’un combat séculaire agitant des êtres dont elle ne soupçonnait même pas l’existence. Et en tombant amoureuse de Patch, elle va découvrir que la passion peut être fatale.
Premier roman de Becca Fitzpatrick, Hush, Hush a connu un succès immédiat, entrant dès la première semaine sur les listes des best-sellers. Vendue dans plus de trente pays, cette histoire d’anges déchus est devenue un véritable phénomène littéraire.
˜ Mon opinion: La manière dont l’intrigue est menée garde le lecteur dans le suspense : l’histoire est racontée par Nora, jeune fille ordinaire. Mais quand Patch arrive tout va changer… Les premiers chapitrent sont un peu lents et placent les personnages, sans qu’il ne se passe vraiment quoi que ce soit d’étrange. Á l’exception du premier qui se déroule en 1565, avec le personnage de Chancey.
Puis le lecteur atterrit du côté de Portland, à notre époque. Bien vite, on se doute qu’il y a un lien entre Chauncey et Nora, notre héroïne, mais sans réellement deviner lequel, ni si Chauncey est un des personnages de l’époque de Nora.
J’étais étonnée, parce qu’en général on voit toujours les choses venir, mais là, pas vraiment. On a des doutes, mais justement le problème des doutes c’est est-ce que oui et est-ce que non? Et là on a une réponse qu’à la fin.
Seul bémol, la description des Néphilim qui n’est pas vraiment conforme à la description biblique ou ils sont plutôt difformes et donc pas vraiment très concordants avec ce qui est décris dans le roman, mais c’est un roman et il laisse donc livre cours à l’imagination…
Un petit mot explicatif sur les inspiration angélique à la fin du bouquin n’aurait pas été de trop non plus.